“Isabelle de Charrière […] a voulu élever la voix […]; et cette voix, on peut sans doute, effectivement, l’entendre aujourd’hui, bien mieux qu’à l’époque, où elle se perdait parmi les clameurs des factions.”

“Comment ressaisir cette voix dans toutes ses inflexions, ironiques, amères, malicieuses, déchirantes ou profondément mélancoliques?”