(Difference between revisions)
Jump to: navigation, search
Revision as of 17:23, 19 November 2008 (edit)
SvDijk (Talk | contribs)

← Previous diff
Current revision (17:31, 19 November 2008) (edit) (undo)
SvDijk (Talk | contribs)

 
Line 6: Line 6:
[http://www.databasewomenwriters.nl/reception.asp?receptionID=1335 Freron, 1749]:<br><br> [http://www.databasewomenwriters.nl/reception.asp?receptionID=1335 Freron, 1749]:<br><br>
-[...] Cette peinture est bien parlante. Cependant Zilia ne comprend rien a toutes ces preuves evidentes de la plus vive passion. On a peine a se figurer que connaissant l'amour par sa propre experience, elle n'en retrouve pas les caracteres dans les soins empresses de Deterville. A-t-elle besoin de savoir sa Langue, pour apprendre qu'elle en est adoree? Les yeux du Chevalier le lui disent assez. [...]+[...] Cette peinture est bien parlante. Cependant Zilia ne comprend rien a toutes ces preuves evidentes de la plus vive passion. '''On a peine a se figurer''' que connaissant l'amour par sa propre experience, elle n'en retrouve pas les caracteres dans les soins empresses de Deterville. A-t-elle besoin de savoir sa Langue, pour apprendre qu'elle en est adoree? Les yeux du Chevalier le lui disent assez. [...]
<br><br><br> <br><br><br>

Current revision


AMOUR ET LANGAGE UNIVERSEL




Freron, 1749:

[...] Cette peinture est bien parlante. Cependant Zilia ne comprend rien a toutes ces preuves evidentes de la plus vive passion. On a peine a se figurer que connaissant l'amour par sa propre experience, elle n'en retrouve pas les caracteres dans les soins empresses de Deterville. A-t-elle besoin de savoir sa Langue, pour apprendre qu'elle en est adoree? Les yeux du Chevalier le lui disent assez. [...]




SvD, Novembre 2008




  • Conferences > Teaching > Les écrivaines > Graffigny > Lettre XXXIV > Commentaire

Personal tools